Abonnez-vous de Chris Weitz Avec Nicole Kidman, Daniel Craig, Dakota Blue Richards, Ben Walker, Eva Green, Jim Carter, Tom Courtenay, Christopher Lee, Ian McKellen, Kristin Scott-Thomas, Kathy Bates, Derek Jacobi, Simon McBurney, Jason WATKINS, Theo Fraser Steele Durée 00mn Résumé Lyra, 12ans, est une orpheline rebelle qui vit à Jordan College, dans un monde parallèe qui ressemble au nôtre. Lyra n'est jamais seule elle a pour compagnon Pantalaimon, son démon, capable de prendre de nombreuses formes animales. Dans ce monde, l'organisme gouvernemental global resserre son emprise sur le peuple. Ses sombres activités l'ont poussé à faire enlever des enfants par les mystérieux Enfourneurs. Parmi les Gitans, qui ont perdu beaucoup des leurs, une rumeur court les enfants sont emmenés dans une station expérimentale, et on pratique sur eux d'abominables expériences... Le casting de A La Croisée Des Mondes La Boussole D'Or Nicole Kidman Daniel Craig Dakota Blue Richards Ben Walker Eva Green Jim Carter Tom Courtenay Christopher Lee Ian McKellen Kristin Scott-Thomas Kathy Bates Derek Jacobi Simon McBurney Jason WATKINS Theo Fraser Steele Chris Weitz Les bandes-annonces de A La Croisée Des Mondes La Boussole D'Or Les photos de A La Croisée Des Mondes La Boussole D'Or
Lavingtième édition du championnat du monde de volley-ball est organisé du 26 août au 11 septembre en Pologne et en Slovénie. Comment suivre La Dérive des continents au sud Séances News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Photos Blu-Ray, DVD Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 2,4 54 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur La Dérive des continents au sud ? 8 critiques spectateurs 5 0 critique 4 0 critique 3 6 critiques 2 1 critique 1 1 critique 0 0 critique Trier par Critiques les plus utiles Critiques les plus récentes Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés Les 10 premières minutes de ce film sont plutôt réussies on est en Sicile, près de Catane, au début de 2020, juste avant l'arrivée de la pandémie et la première période de confinement et on assiste aux préparatifs d'une visite "surprise" de Macron et de Merkel dans un camp de migrants. C'est plutôt drôle, c'est plutôt subversif et on se dit que lorsque le couple franco-allemand va arriver sur place, on va bien se régaler. Pas de chance au bout de 10 minutes, Nathalie Adler, une française en mission pour l'UE, tombe sur son fils qu'elle avait plus ou moins abandonné 9 ans auparavant. A partir de là , le film ne sait plus très bien ce qu'il doit traiter, ça part un peu dans tous les sens, rien n'est approfondi et on s'ennuie ferme ! Dommage pour Isabelle Carré et le reste de la distribution qui font ce qu'ils peuvent mais sans succès. Achevé en 2021, La Dérive des continents au sud », tragi-comédie et satire grinçante de la politique migratoire de l’Union européenne mêlée à l’histoire intime des protagonistes aux destins chamboulés par les soubresauts de l’Histoire, prend aujourd’hui avec la guerre en Ukraine une dimension plus troublante. Après Comme des voleurs à l’Est » en Pologne [2006] et Les grandes ondes à l’ouest » au Portugal [2016], cette fiction documentée tournée en Sicile par le cinéaste suisse Lionel Baier constitue le 3ème volet d’une tétralogie dédiée à la construction européenne. Le réalisateur, ancien enseignant en cinéma et coscénariste ici avec Laurent Larivière, revendique un regard critique sur la construction européenne, seul rempart [à ses yeux] contre la barbarie et le nationalisme’.Les critiques n'étaient pas très bonnes encore le Monde décidément mais j'ai vraiment apprécié ce Carré est vraiment très bonne en fonctionnaire européenne psycho rigide écartelée entre son homosexualité compliquée à gérer et un fils militant alter mondialiste qui lui en veut de l'avoir "abandonné" à son père à l'âge de 12 ans...Le film est parfois un peu "théatralisé" et propose beaucoup d'intrigues parallèles. On peut aussi "décrocher" parfois sur des thématiques mystico-juives qui ne parlent pas à tout le la photo et le montage sont au top ! Isabelle Carré fait à nouveau mouche dans cette comédie, mini tragédie familiale. On prend un malin plaisir à voir s'organiser la Grande réception, tout comme le rabibochage familial. Les dialogues sont majoritairement savoureux. Le canadien Théodore Pellerin est parfait pour donner la réplique, parfait bilinguisme. J'avais déjà beaucoup aimé "Les grandes ondes". Le cinéma de Lionel Baier s'inscrit parfaitement dans la lignée du trio historique helvétique Goretta, Soutter, Tanner libre, anti-conformiste, rebelle, mais aussi tendre et revigorant. Pour preuve, La dérive des continents à l'ouest mêle des éléments de comédie, d'absurde et de drame, a priori inconciliables, autour des crises migratoires et de leur déplorable gestion par la Communauté européenne. Le film a parfois des allures de satire des institutions, qui n'hésitent pas à maquiller la réalité pour la rendre conforme à leurs politiques, mais il n'est pas que cela. Les retrouvailles d'une mère avec un fils qu'elle a abandonné des années auparavant est aussi l'occasion de confronter les idées de l'une bureaucrate avec les convictions opposées de l'autre activiste, avec intelligence et sans violence, en faisant se croiser l'intime et la morale, sous le soleil trompeur de Sicile. Le rythme et la tonalité de La dérive des continents sont bien différents d'une certaine norme narrative actuelle, n'hésitant pas à parfois s'éloigner de ce qui constitue son noyau central, comme cette visite inattendue à un village détruit par un tremblement de terre qu'un artiste a recouvert d'un sarcophage. Isabelle Carré semble comme un poisson dans l'eau dans cette ambiance douce-amère et forme avec le jeune et prometteur Théodore Pellerin un duo qu'il est tout à fait réjouissant de voir se déchirer et se rapprocher, en une valse à plusieurs temps. Pour son retour derrière une caméra, après avoir dirigé ll'école de cinéma de Lausanne Suisse pendant plusieurs années, Baier aurait-il perdu la main et l'oeil? Il mêle, peut-être trop ambitieusement la question des migrants, une femme homosexuelle Isabelle Carré, qui réussit à rester parfaite retrouvant son fils après des années et essayant de restaurer leur lien tout en entretenant une relation avec une diplomate allemande, Ute Ursina Lardi, tout ça sur fond de comédie, qui ne prend pas vraiment. Reste une satire des moeurs politiques via le storytelling de la visite, minutieusement préparée et une apparition de Baier en dragueur. film joli et sensible, drôle, mais rien à voir avec le problème migratoire, qui est pris comme prétexte pour parler de l'impossibilité à être une mère parfaite. Les 10 premières minutes laissent entrevoir un film intelligent et drôle sur un problème impossible à gérer on le conçoit facilement . Ensuite c'est du n'importe quoi les "héros" arrogants, suprêmement intelligents, avec des histoires "modernes " contrastent avec ces italiens mal fagotés , bêtes et rétrogrades, racistes bien évidemment ils n'ont pas idée de pousser la gerbe dans l'eau heureusement intervient la représentante de l'UE On s'ennuie ferme avec les histoires fils mère amantes, personnages tout sauf attachants aucune émotion .... dans le cadre de la Sicile une fonctionnaire européenne doit organiser la visite de Macron et Merkel dans un camp de réfugiés. elle croise à cette occasion son fils dont elle s'est éloignée pour vivre elyseens mais on reste sur sa faim sur les relations mère fils. Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse